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 |  Sujet: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies.  Jeu 10 Mar - 13:43 | |
| ADRIAN J. K. KINGLSEY.
Nom : Il parait qu’il s’appelle Kingsley. La vérité est bien différente. Son véritable nom de famille n’est autre que Black.
Prénom : Il se présente sous tellement d’identités qu’il serait difficile de vous donner un nom fixe. Enfin, il se présente souvent comme étant Adrian Jack K. Kingsley. Que signifie le K ? Mystère. On suppose que c’est un troisième prénom dont il n’est pas très fier. Un prénom aux connotations féminines, parait-il…Kaya ? Kyra ? Kuroi ? Peut-être Kheira ! Oui, Kheira.
Date de naissance : Aucune certitude là encore. Sur sa carte d’identification, on peut y déchiffrer quelque chose qui ressemble au neuf Juin cinquante-sept.
Age en Avril CE 76 : Toujours selon sa carte…Son âge doit tourner autour des dix-neuf années.
Groupe sanguin : O ? Euh…Non ! AB - ! Non ! A -
Gène : C’est un coordinateur bien qu’il soit né sur Terre, je suis bien en mesure de le confirmer. Il ne semble pas être en possession du SEED.
Lieu de naissance : D’après lui, il serait né sur Terre, enfin en pleine mer, sur un bateau de croisière. Mais il n’est pas une source très fiable.
Camps : Comme vous pouvez le constater…Il a fait son service militaire à ZAFT. Il a déserté en pleine guerre. Nous ne sommes pas au courant de ses derniers agissements mais il continue à se balader impunément sous notre nez depuis qu’il a été gracié par Durandal.
Métier : Si je m’en souviens bien…Il était pilote. Un simple pilote de Ginn mais très doué. Aujourd’hui ? Ce n’est plus vraiment un déserteur, c’est un…brigand ? Il a pactisé avec des pillards.
Vaisseau : Aucun. Il n’est plus officiellement dans l’armée.
Lien de parenté avec d'autres personnages : Aucun. Sa famille n’existe pas. Enfin quand on lui a demandé de remplir le formulaire…Il n’a annoté que des âneries. Père ? Bob, Roi du crabe croustillant. Mère ? Chita, Reine des singes. Frères ? Teddy, frère ours…
Caractère :
Berlin. Commissariat de police. Salle d’interrogatoire.
« Adrian ? Ce pauvre type ?! Si je le retrouve, je le saigne comme un porc ! »
L’homme hurle, la haine se lit dans ses yeux. Il est enragé, en fermant les yeux, la commissaire l’imagine bavant comme les chiens atteints de la rage. Pas de chance pour une première affaire, il fallait qu’elle tombe sur un gros lourd, pense-t-elle. Soupirant, elle lui somme de s’assoir à nouveau. Elle ne le comprend pas…Cet Adrian est sensé être l’un de ses complices alors pourquoi le menace-t-il d’une mort certaine ?
« C’est votre complice ! Inutile de le nier. »
Il frappe des poings sur la table. Cachant un sursaut, elle se rassure en pensant qu’il est menotté. Il bafouille, ses explications sont confuses. Le voyant si peu coopératif, elle se lève et quitte la pièce d’interrogatoire. Il lui faudra deux semaines pour conclure l’affaire. Il s’agissait de la chute d’un réseau entier de trafiquants en matériau pour Mobil Suit…Enfin, entier…Il restait le cas Adrian.
Berlin. Commissariat de police. Bureau du chef.
Deux semaines après avoir conclu cette histoire, Uta est convoquée chez son supérieur. Elle doit lui présenter son rapport afin que l’affaire soit archivée. Elle a étudié son rapport toute la nuit et elle lui débite donc machinalement sans se tromper une seule fois. Pensant avoir fini, elle se lève mais il lui demande de se rassoir et de lui en dire plus sur ce fameux…Adrian. Elle s’y était attendue et elle avait un peu préparé l’entretien.
Rapport : Adrian
Faute d’être loyal, le jeune homme était intelligent. Adrian n’est pas une personne fiable et loin de là. D’après ce que le détenu avait rapporté, le garçon était un lâche qui préférait toujours la fuite à l’affrontement, la négociation à la lutte ce qui était étrange dans le milieu. Il allait même jusqu’à retourner sa veste plusieurs fois sans jamais se faire attraper. Une véritable girouette. Visiblement, il arrivait toujours à se faire entendre par les autres. Le détenu avait d’ailleurs répété à plusieurs reprises qu’il avait été manipulé par ce marionnettiste. A première vue, c’était son audace qui intriguait ses employeurs. Ensuite, il les baratinait avant de tirer profit de la situation. Un jeu bien dangereux. La commissaire en avait conclu que le jeune homme devait détourner l’attention d’une façon magistrale pour se faire oublier le moment venu…Et elle avait eu raison. Les propos tenus par le détenu allaient dans son sens. Selon lui, Adrian mentait constamment, il mentait tellement qu’au final personne ne savait à quoi s’en tenir…Il était aussi dans ses habitudes de monter ses ennemis les uns contre les autres, histoire de pouvoir fuir tranquillement. Tout comme il promettait des choses que les principaux concernés ne verraient jamais…L’art de mentir. Le prisonnier le soupçonnait également de prévoir des plans à l’avance, sans que personne ne s’en rende compte mais il se demandait aussi s’il ne les inventait pas au fur et à mesure de ses changements de vestes. Et enfin la technique la plus facile pour détourner l’attention…le bavardage ! Adrian serait un puits de paroles inépuisable ! Il donnait toujours son avis sur tout et n’importe quoi, débitait des histoires sans queue ni tête. A cela venait s’ajouter un vocabulaire plus que confus…Il se dit aussi que le jeune homme avait un égo énorme…si énorme que les insultes proférées à son encontre ricochaient comme une pierre sur l’eau. Cet égo ne l’empêchait visiblement pas de se dénigrer pour pouvoir mieux vous manœuvrer. Véritable hypocrite, plus il vous complimente moins il vous aime…Il aime embellir les choses, se vanter d’actes héroïques qu’il n’aurait jamais accomplis, se moquer des autres. Il déteste la politique et les héros. Enfin, il adore la richesse mais dépense aussi vite qu’il accumule…Car il ne supporterait pas une vie de château…Il lui arrive de s’enticher de personne qui ne l’aime pas…Et le détenu est certain qu’Adrian est une fille. Bien sûr, ce dernier point ne sera pas tenu en compte vu l’état paranoïaque de l’auteur de ses propos.
Le rapport terminé, la seule chose qu’ils savaient certaine sur Adrian était sa moralité douteuse…Il avait encore du chemin à faire.
Physique :
Adrian est un jeune homme. Petit pour son âge, il ne mesure pas plus que le mètre septante. Sa corpulence reste dans la norme puisqu’il n’est pas en sur-poids. Cette légèreté lui offre une habilité épatante ! La peau d’une pâleur presque surréaliste, certains s’accordent pour dire qu’il vient d’une famille au sang bleu. Bien qu’il se cache toujours sous des caches-têtes en tout genre, on peut certifier que sa chevelure est noire comme le plumage d’un corbeau. Là où les choses commencent à se corser est sans nul doute son visage…Un visage efféminé ! En effet, le jeune homme est efflanqué de deux grands yeux bleus ! Bleu azure, une couleur pas très naturelle…Ses yeux sont perpétuellement emplis de malice…Tout comme ses lèvres fines et légèrement rosées s’étirent en un sourire en coin fascinant et énervant à la fois. Ses mains sont fines et douces tandis que ses jambes sont longues…Comme une fille ? Au niveau vestimentaire, il s’habille toujours de noir. Cela pourrait être sobre si ses vêtements l’étaient, hors ce n’est nullement le cas. De plus, cette couleur l’amincit encore plus et tend à lui transmettre une fragilité,…Ne vous fiez pas à aux apparences ! Sous cette apparence de garçon efféminé se cache un redoutable adversaire ! Adrian est un garçon qui ressemble à une fille.
Adrian est une jeune femme qui, sans conteste, pourrait faire partie des défiles des plus grands noms de la mode ! Longue jambe, maintien royale, yeux profonds…Oui…Mais Adrian ou Alice si vous préférez adore se faire passer pour un garçon. Elle aime cacher ses cheveux longs sous son béret, ses mains de fille dans des gants en cuir noir, sa poitrine aplatie par des bandages. Comment est-elle en fille ? C’est une toute autre histoire ! C’est vrai qu’il lui arrive de revêtir sa véritable identité pour échapper à des cas extrêmes…Elle porte magnifiquement bien les robes noires et simples bien qu’elle préfère largement se couvrir d’un minishort noir mettant en valeur ses jambes et d’un simple bikini noir sur lequel elle ajuste une veste de motard noir elle aussi, la seule anomalie au tout reste sa ceinture d’un blanc immaculé. Alice est juste une fille qui préfère se faire passer pour ce qu'elle n'est pas. Elle aime le danger.
Histoire :
Son histoire ? Franchement ? Vous pensez réellement un jour connaître sa véritable histoire ? Si c’est le cas, vous vous foutez le doigt dans l’œil. Je vais vous raconter ce que je sais, après à vous de démêler le vrai du faux.
Alice ou Adrian, peu importe, est née en pleine mer, sur un bateau de croisière, un jour où la mer était particulièrement agitée. Pourquoi en pleine mer ? Il se trouve que sa mère y avait embarqué afin de fuir une situation qu’elle ne pouvait plus supporter ou alors elle y travaillait comme Stewart. Le bateau dut faire une halte au large des îles Caraïbe, non loin de Cuba. Elle y vécut ses six premières années avec sa mère…Dans une pauvreté extrême ! Non, Adrian ne vient pas d’une famille de riche…ou à moitié peut-être. Sa mère était la maîtresse d’un homme d’affaire plein aux as qui n’avait pas voulu reconnaître sa fille. Soit, là n’est pas le sujet. Sa mère, que nous nommerons Arianne, vivait avec sa vie dans une mansarde et payait les factures en effectuant des ménages et du gardiennage dans des familles riches. Alice me raconte souvent que son enfance dans les rues de l’archipel avait été l’une des parties de sa vie préférée. Elle n’était pas scolarisée et trainait donc toute la journée dehors. Elle essayait de rapporter de l’argent à sa mère en se proposant aux pêcheurs pour les aider. Malheureusement pour elle, il refusait toujours prétextant que les filles portaient malheur sur les navires. C’est à ce moment-là que l’idée de se travestir fleurit dans sa tête. Forte de ce petit stratagème, elle réussit à aider financièrement sa mère bien que sa paye n’était pas suffisante.
Croyant bien faire, Arianne appela l’un de ses vieux amis pour qu’il vienne récupérer sa fille et lui offrir une vie plus décente. Le vieil homme qui n’avait pas eu la chance d’avoir des enfants accepta immédiatement l’offre. C’était un brillant inventeur qui vivait dans un quartier reculé aux Etats-Unis. Comme prévu, il embarqua la petite avec lui et elle emménagea dans son immense manoir situé un peu en retrait du quartier résidentiel. N’ayant jamais été à l’école, c’est lui qui se chargea de la remettre à niveau avant de la lancer dans la fausse aux lions : l’école primaire. Alice apprenait vite, elle était une coordinatrice après tout…une coordinatrice dans un quartier de naturels ? Dès son premier jour d’école, elle fut mal vue par les familles…Les parents interdisaient à leurs enfants de la côtoyer et se mirent à inventer des histoires stupides sur le vieil homme qui habitait dans le manoir. Alice a toujours dit que cet évènement ne l’avait pas marquée plus que ça. Elle n’appréciait pas la compagnie des enfants de son âge et préférait travailler. Deux après son arrivée au manoir, le vieil homme décéda. Inutile de préciser que personne ne participa aux funérailles et qu’aucun des habitants de la ville ne voulurent la prendre en charge.Enfin presque, une famille accepta. C’était une famille moyenne qui avait déjà deux enfants. La cohabitation se passa sans encombre. Alice s’entendait plutôt bien avec eux.
Elle décida de partir à quatorze ans, soit huit années après son arrivée et sans demander l’avis de sa famille d’accueil. Les tensions entre coordinateurs et naturels étaient au plus fort et rester dans ce quartier infesté de naturels était dangereux pour elle. Elle savait pourtant qu’elle aurait toujours un refuge puisqu’à sa mort, l’inventeur lui avait légué sa fortune et son manoir mais n’étant pas majeure, elle ne pouvait pas en profiter tout de suite. On ne sait comment, elle se retrouva à Londres…dans un quartier populaire. Après avoir galéré plus de quatre mois, mois durant lesquels elle fit la connaissance des membres de son futur gang de bras cassés, elle trouva un job en tant qu’assistant chez un homme étrange, le seul à l’avoir accepté malgré son âge, qui la logeait à l’étage se trouvant au dessus de son établissement. Elle comprit bien vite que l’homme était mêlé à des affaires douteuses mais plutôt que de prendre ses jambes à son cou, elle lui proposa son aide mourant d’envie de pouvoir l’aider…Parce que pour une raison inconnue, elle adore cet homme. Quand je vous dis qu’il était douteux…Sachez qu’il a accepté son aide bien qu’il ne lui donnait que des tâches assez simples à réaliser. Ce trafic semblait plutôt bien organisé…Ils durent tout de même quitter Londres pour des raisons inconnues. Leur destination : les PLANT’s. A seize ans, elle s’engagea. Elle était plutôt douée mais très indisciplinée. A la fin de la guerre, elle déserta. On ne sait pas ce qu’elle fit durant ce temps…Enfin si ! Elle travaillait avec des trafiquants. Heureusement pour elle, Durandal la gracia et elle ne remit plus jamais les pieds à l’armée se concentrant sur ses affaires. Avec son groupe de bras cassés (formé par deux jumeaux étranges, un refoulé effrayant, l’homme qui l’a hébergée, moi-même, et d’un informaticien de génie), elle continue ses petites activités douteuses profitant du remue-ménage provoqué par Requiem. Bien sûr, personne, si ce n’est nous, ne sait qu’elle est une fille…Après, à vous de savoir ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas.
Manga/anime/série d'origine de l'image de votre personnage : Mato Kuroi from Black Rock Shooter.
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| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. Jeu 10 Mar - 17:54 | |
| Fiou o_O Vlà le spécimen ! Y en a comme ça qui aime les perso' bizarres et complexe, aux idées tordus et... bon ok je m'arrête là.Présentation validée 1/2.Je te place dans le camps neutre ( ainsi se sera fait d'avance) . Pour ton pseudonyme, je le transforme en " Adrian J. K. Kingsley " ou autre chose ? J'attends ta réponse pour le modifier  . |
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| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. Jeu 10 Mar - 19:43 | |
| Yeah, en Adrian J. K. Kingsley x).
Par contre si j'suis dans le camp neutre, je n'ai pas le droit d'avoir de MS, c'est ça ? |
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| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. Jeu 10 Mar - 20:36 | |
| En toute logique non. Seul les soldats et mercenaires raccordés à une armée ont le droit d'avoir un mobile suit. (On a établi cette règle pour éviter que tout le monde fasse le civil qui veux protéger son monde, obtient un gundam de malade d'on ne sait où et le répare par magie avec les vieux outils de son grand-père et le reste de la voiture de sa mère  ) Mais en cas d'histoire solide, des exceptions peuvent exister. Pourquoi cette question ?  |
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| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. Ven 11 Mar - 14:03 | |
| Pour savoir, je m'informe x). J'avais dans l'idée que justement, le groupe de trafiquants auquel elle appartient était des revendeurs de pièces pour Mobile Suit ; genre, qu'ils alimenteraient les groupes armés illégaux (partisans de Patrick Zala, etc...) en récupérant les morceaux de MS encore en bon état après les combats. 'Fin, c'est pas grave x). Une vie sans MS n'a jamais tué personne xD. |
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Sanji Aeon
Roi des Pingouins
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Age : 34
Localisation : Caché... !
| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. Jeu 17 Mar - 20:24 | |
| Validé 2/2 !
Bon RP à toi ^^ |
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| | Sujet: Re: Adrian J. K. Kingsley ~ Lies. | |
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