Kallen était partie avec un sourire au visage, elle n'aimait pas inquiéter les gens, surtout pas. Mais a fond, elle était complètement perdue. Les mots du dénomé Skens, l'arrive de ce jeune homme, ses pensées qui s'embrouillaient dans son passé et son présent...Il y avait tout, tout qui se mélangeait pour la rendre complèment dingue et fragile face au monde extérieur. Alors elle était partie, comme toujours, en souriant à ce qui la blessait, pour aller méditer tout ça tranquillement, sur la plage. Elle se rappelait, tout en marchant, les mots qu'avait employé Skens, les expression de son visage, sa cigarette en main, chacun de ses gestes....Et elle ne comprenait pas pourquoi ça lui était arrivé à elle, pourquoi il lui demandait ça à elle qui avait déjà souffert.

Après un moment de marche, elle arriva sur la plage. Il lui avait fallu à peine quinze minutes pour passer du parc à cette étendue de sable, tant elle était pressée de s'éloigner de la foule. En arrivant, elle retira ses chaussures puis parcouru la plage pour finalement aller se poser sur un amoncellement caillouteux près de la jetée. Là elle se sentait bien, l'eau léchant ses pieds à chaque ressac. Elle s'allongea à demi, s'appuyant sur ses coudes, et ferma les yeux pour repenser à tout ça. Le son de l'eau la calmait un peu, ça faisait du bien d'être ainsi seule.

Elle revoyait encore la carte que Skens avait déposée sur la table lorsqu'elle entendit de la musique. Mais elle ne se donna pas la peine d'ouvrir les yeux, trop occupée à réfléchir. Après tout la musique parfois aidait aussi à réfléchir, et l'air lui plaisit bien. Mais au bout de quelques minutes, on la rejoignit. Une voix masculine l'aborda. Doucement elle ouvrit les yeux pour voir un homme qui s'inclinait poliment. Le soleil n'était pas trop brillant alors elle le voyait sans tro de problème et ce qui la marqua en premier lieu, ce furent les gants. Il était rare de porter des gants avec un si beau temps. Elle même n'était vétue que d'une jupe et un chemisier court. Mais il semblait bien gentil...Enfin cela ne l'empêchait pas de toujours se méfier les premiers venus n'étaient pas forcément les plus gentils... Affichant un léger sourire, elle décida tout de même d'être polie.

Bonjour...

Et justement, il parla de la musique. Elle constata en effet qu'il n'y avait qu'eux deux sur la plage, il était donc logique que la musique vint de lui. Elle regarda le poste un moment puis le jeune homme.

Non, la musique ne me dérange absolument pas. Elle ne voile qu'à moitié le son de l'eau et puis c'est un leiu public, je ne vais pas vous empêcher d'écouter la radio...

La façon de parler du jeune homme en face de Kallen la fit sourire, voilà quelqu'un de bien poli et cultivé. Sa façon de voir était plaisante et fort bien juste. Après un moment il se présenta et Kallen inconsciement soupira. C'était décidément bien sa veine. ur une journée, combien de gens du camp adverse avait elle rencontré?? Elle ne s'en souvenait même plus et cela ne la dérangeait pas vraiment, sauf s'il s'agissait de quelqu'un de chez zaft puisqu'elle était une "fugitive". Malgré tout elle lui sourit.

Kallen Kozuki, enchantée. Je vous en prie, asseyez vous à votre convenance

Elle le regarda enlever sa veste, mais toujours pas ses gants. Son regard croisa un instant celui de Malfiros et elle put remarquer que ses yeux étaient couleur or, une couleur assez rare d'ailleurs. Alors qu'elle regardait à nouveau vers la mer, la question claqua dans l'air...Encore une fois cette interrogation sur ce qui la poussait à être ainsi seule, dans un tel lieu, comme ce matin dans le parc ou un peu plus tard au café. Elle soupira en fermant les yeux avant de finalement prendre son souffle.

je vais être sincère, il y a toujours quelque chose pour me tracasser...Votre curiosité ne sera pas punie, vous êtes le troisième aujourd'hui à me poser cette question.

Ouvrant à nouveau les yeux, elle se retourna vers Malfiros.

La mer est à la fois un plaisir et une échapatoire aujourd'hui.

Manquer d'originalité?? J'en doute, vous ne pouviez pas savoir...

Elle sourit et s'allongea compètement contre la pierre froide, regardant les nuages et un peu la mer sur le côté. Il lui avait bien semblé qu'il n'était pas Japonais, suite au petit discours qu'il lui offrit concernant son nom, elle en était sure à présent. Effectivement, c'était un bien joli nom qu'on lui avait offert, mais la vie qui allait avec ne l'était pas vraiment, ce qui était bien dommage pour elle. Mais encore une fois, elle n'aimait pas se plaindre et ne répondit pas à cela. Elle écouta plutôt ce qu'il lui dit sur la mer. Certaines personnes auraient sans doute été d'accord, pas elle...Elle aimait être à l'opposé des autres, se démarquer. A ce sujet, elle se démarquait bien.

Pour qu'elle m'absorbe il faudrait que j'en approche de plus près...Et puis elle ne m'effraie pas vraiment, la mer. Je vois la mort tous les jours, je pense qu'elle est pour moi une autre échapatoire bien plus apaisante...Mais au fond la mort n'est-elle pas en elle même une échapatoire?

Sur ces mots elle ferma les yeux. Des morts il y en avait trop et elle voyait le bon côté des choses. Elle s'en voulait pour cette sombre pensée, mais au fond plus rien ne la rattachait vraiment à la vie si ce n'est l'espoir de faire changer les choses...Mais les changer pour qui?? Pour quoi?? Elle était seule, avait tout quitter pour devenir une pilote sanguinaire et elle ne savait plus pourquoi non plus. Et bien au fond, peut être devait elle se donner entièrement à cette échapatoire qu'elle ne s'en voudrait pas plus que ça...Voilà, elle se démarquait encore.

Grave?? je ne pense pas que ce soit grave, juste plutôt embêtant...

Kallen se surprit à sourire face à la situation. Malfiros lui proposa de s'allonger sur sa veste, lui fit inconsciement ce qu'elle prit pour un compliment, lui parla du lieu où il vivait auparavant avant de l'interroger sur son statut et de s'excuser de sa curiosité et sa conversation peu joyeuse. Voilà quelqu'un de bien bavard, tout ce qu'elle avouait ne pas être. Ce qu'elle aimait...Elle se demandait ce qu'elle aimait encore bien...Mais elle allait procéder par ordre, répondre point par point pour être sure de ne rien oublier et de rester la plus polie possible avec cet homme qui ne semblait pas lui vouloir le moindre mal.

Malheureusement on l'est tous un jour, confrontés à cette mort. Dans tous les cas elle reste brutale, même lorsqu'elle semble douce...Oui la mort peut paraitre douce mais elle ne l'est pas pour ceux qui sont proches...enfin je suppose que vous comprenez ce que je veux dire.

Elle sourit et ouvrit les yeux juste au moment où une mouette s'envolait dans un cri assez aigu. Elle resta cependant couchée et fit une légère grimace, agacée par ce bruit très irritant pour le timpan malgré la musique.

Malheureusement pour moi, et sans doute pour les autres aussi, je suis pilote...Vous vous rendez compte, je crée moi même la mort. Il est difficile d'encore trouver quelque chose que j'aime, ma vie ne tourne plus qu'autour des missions qu'on m'assigne et des morts que je crée. Pourquoi ne pas parler plutôt de ce que vous aimez vous?

Elle tourna la tête vers Malfiros pour le voir. Après ce qu'elle venait de dire, la moitié des gens auraient fais une grimace, seraient partis ou l'aurait très mal prit. Certain même lui aurait reproché cela avant de se rendre compte que d'une certaine manière même si elle tuait, elle protégeait également d'autres innoncents. Mais tout ça n'avait aucun sens pour elle, plus maintenant.

La petite histoire lui plaisait bien, elle se sentait vraiment concernée par ses propos mais pourtant cela ne la toucha pas. Il y avait bien eut un fourreau autrefois, mais le fourreau a été détruit. Retrouver un fourreau n'était pas mince affaire et elle ne s'en sentait pas le courage. Elle sourit cependant, appréciant de voir qu'on ne voulait pas qu'elle devienne une folle...malheureusement cela faisait bien longtemps qu'elle avait passé ce cap.

Je n'ai plus le droit de décider sentence, je n'ai plus qu'à obéir à des ordres que je ne comprend plus. Il y a fort bien longtemps qu'on a détruit mon fourreau, je n'en trouverais pas de si tôt j'ai l'impression...

Après, il lui dit enfin ce qu'il aimait, faisant rougir Kallen, deuxième fois de la journée. Elle ne savait trop que répondre, préféra passer au dessus de ce compliment - sans doute en était ce un - et parler d'autre chose qui lui semblait plus intéressant qu'elle.

La grande musique?? Qu'est ce que la grande musique pour vous?

C'était certe un point de vue subjectif, mais elle voulait savoir ce qu'il considérait comme grand lui, parce qu'elle n'avait en mémoire de grade muisque que les rares morceaux de piano que jouait parfois son frère, lorsqu'il n'était pas sur un champ de bataille.

Encore un compliment...Décidement c'était son jour, ça n'arrivait que rarement.Elle rougit de plus belle, détournant le visage.

Non...je n'ai aucun prétendant. Trop mauvais caractère sans doute.

Ha la musique classique...Elle n'en raffolait pas, mais de temps en temps ça faisait du bien de l'écouter. Ce devait être un homme de goût. Du moins c'est ce qu'elle pensait, les apparences pouvaient parfois être trompeuses. Elle sourit et l'écouta.

Marcher?? On vient à peine de se poser...Enfin ce n'est pas une mauvaise idée!

Elle attrapa la main que lui tendait Malfiros pour se lever et se retrouva face à lui, de toute sa grande taille. Oui Kallen n'était pas toute petite, elle devait bien faire 1m70, ce qui était déjà bien grand pour une Japonaise, qui avait une chevelure rouge et des yeux bleux...C'était décidement une drole de jeune fille. Enfin pas plus que les gens aborant des yeux or ou rouge... Elle remit ses chaussures en vitesse pour suivre Malfiros sans trop savoir où ils allaient aller.

Kallen ne broncha pas lorsque Malfiros posa sa veste sur ses épaules, après tout il commençait à faire froid et elle n'avait pas de gilet. Et d'elle même, elle n'aurait certainement pas demandé quoi que ce soit, préférant affronter le froid. Il lui demanda ce qu'elle voulait, parce qu'il voulait lui rendre sourire. Le simple fait qu'il veuille lui rendre le sourire la fit sourire. Ce qu'elle voulait c'étaiot le repose, la certitude qu'il n'y ait plus de danger, comprendre ce qui s'était passé...Mais tout ça ne lui était pas accessible. Au moins elle pouvait se contenter de chercher un petit plaisir différent et plus accessible. Quelque chose pour oublier, quelque chose qu'elle n'avait encore jamais fait...

Pensez vous qu'il soit ridicule qu'une femme de 18ans veuille essayer un parc d'attraction??

Elle rougit légèrement, un peu génée de ceci. Beaucoup de gens pouarraient trouver ça complètement enfantin et ridicule, mais elle aurait tant aimé pouvoir rester une enfant plus longtemps. Depuis la mort de son frère, Kallen avait été livrée à elle même, son père faisant comme si elle n'existait pas. Du coup elle était vite devenue une adulte et n'avait pas vécu pleinement son enfance. Elle le regrettait beaucoup mais ne s'en plaignait pas, elle avait le sens des responsabilités.

Sur les Plants, il n'y en a à ma conaissance aucun parc...Je ne sais pas ce que ça fait. C'est sans doute moins impressionnant que de piloter un mobile suit mais c'est un rêve d'enfant...

Kallen avouait une de ses faiblesse, celui de vouloir encore faire des choses d'enfants. Mais face à cet homme qu'elle venait à peine de connaitre, cela ne lui semblait pas être une gène, mais plutôt un réconfort d'avouer qu'elle n'avait pas eu une tendre enfance.

Un parc…. Malfiros réfléchit, il n’était pas trop du coin mais le centre ville offrait plein d’agrément et cela aurait été étonnant de le pas y trouver de quoi se divertir. C’est vrai qu’appart à l’orphelinat les coins pour s’amuser, durant son enfance n’étaient pas légions. Ho, et puis de nuit, avec les petite ampoules de couleur, c’est vrai qu’un parque revêtait un côté magique et attachant. Le jeune homme se plaça devant Kallen et lui sourit, elle avait sut percevoir un certain plaisir dans ses propos et voir la jeune femme se livrer un peu n’était pas du tout désagréable.

-Un parc, je ne vois pas ou est le mal. Pourquoi ce serait ridicule ? Avant que ce ne soit les enfants qui y aillent c’est bien les adultes non ? Saviez-vous d’ailleurs que les premiers manèges entre autre en France étaient d’avantage une attraction pour adulte ? Et puis, on fait ce que l’on veut après tout.

D’un pas décidé, le jeune homme se dirigeait déjà vers le centre ville, il ne lâchait pas d’une semelle la demoiselle, sans doute un peu trop protecteur à son égard. Mais, dans le font c’était plus le fait d’être prévenant et attentionné. Le chemin lui avait parut court, allez savoir pourquoi. Mais arrivé devant l’entrer des attractions, il s’arrêta.

-Pour vous répondre, dans un mobil, vous n’avez pas la sensation de l’air sur vous ou la pression, bien au contraire des manèges. Ce n’est pas un écran de pilotage là, c’est vous qui voyez avec vos propre yeux et puis, vous ne pouvez rien contrôler. Donc, c’est très différent. Je vous laisse choisir mademoiselle Kozuki.

Malfiros était curieux de voir par quoi elle voulait commencer. Peut-être un truc qui secoue bien, histoire de se griser un peu ?

Malfiros sembla aussi pressé qu'elle à l'idée d'aler dans le parc d'attraction, il tenta même de lui montrer par a plus b que ce n'était pas ridicule, ce qui l'amusa. Au fond, il avait raison. Ca la fit sourire et elle avança rapidement vers le lieu où se trouvait en toute logique le parc d'attraction, bien qu'elle ne sache où il se trouvait.

Vous avez sans doute raison, après tout chacun fait ce qui lui plait.

Elle imaginait un peu tout ce qu'il pouvait y avoir, elle n'y connaissait strictement rien, c'était loin d'être une machine, les plants ou autre chose qu'elle connaisse. Mais elle remarqua directement le grand huit en arrivant. Elle sourit et comme une enfants attrapa Malfiros par le bras pour l'attirer en courant vers le grand huit, en oubliant les bonnes manières. Elle était une enfant, plus la grande Kallen qui se cachait sous une carapace de froideur à en figer les gens. Non, c'était une petite fille au regard étincelant, heureuse de pouvoir faire ce qu'on lui avait toujours refusé.

Kallen était contente d'être montée à bord, puis les ceintures furent bien attachées et elle écouta ce que dit Malfiros avec un grand sourire aux lèvres, toute heureuse d'être là, avec lui. Ca commençait doucement, kallen en fut d'ailleurs étonnée, mais elle ne dit rien, souriant continuellement à s'en déboiter la machoire. la lenteure de la machine lui rappelait un peu son unité. Mais soudainement ce fut rapide et surprise, elle attrapa la main de Malfiros. Elle sentit le gant et n'en paru pas surprise même si ça l'étonnait toujours un peu. Elle se surprit par contre à fermer et les yeux et se mordit la lèvre pour ne pas crier. C'était comme si elle chutait avec son unité, mais c'était bien plus agréable tout de même.

Kallen lâcha doucement Malfiros tandis que cela montait. Elle avait été surprise qu'il ait poussé un tel cri mais au fond ça la démangeait vraiment. Son coeur battait rapidement, c'était vraiment excitant comme sensation. Elle même n'en revenait pas. Elle sourit à Malfiros et pensa lui répondre mais déjà la machine entâma une nouvelle descente. A nouveau elle attrapa la main de Malfiros mais ne retint pas un cri. Ses cheveux s'envolèrent d'un côté vers l'arrière, dégageant son visage. L'air sur sa peau, bien qu'elle la tirait, la rafraichissait et cela lui faisait un bien fou. Tout en criant elle ne put s'empêcher de rire. Oui elle se sentait vivre, s'était l'expression qu'on pouvait lire sur son visage. Il n'y avait pas de guerre, pas de mobile suits, pas d'amis ou d'ennemis....Juste une jeune fille qui vivait et s'amusait.

Kallen constata seulement lorsqu'il lui adressa la parole qu'elle lui tenait la main. Par réflexe, elle l'ota rapidement, rougissant.

Gomen, je n'ai pas fait attention...

Mais rapidement la conversation fut détournée, à son avantage. Elle regarda Malfiros un instant avant de sourire, toute heureuse. Les glaces, elle se rappelait qu'elle aimait quand elle était petite...Mais il y avait toujours tellement de gout, c'était si dur de choisir qu'elle restait souvent des heures devant le marchand à réfléchir.

Une glace...je veux bien une glace.

Elle regarda autour d'elle, réfléchissant encore et toujours. Elle avait choisit déjà la première attraction et lui, il demandait ce qu'elle voulait faire. c'était un gentil garçon.

Choisissez la prochaine attraction.

Elle se retourna vers lui, un sourire aux lèvres.

J'ai choisis la première et vous continuez de m'inviter et d'être gentil avec moi...Faites vous plaisir, choisissez la prochaine attraction.

Citation :

Gomen, je n'ai pas fait attention...

Elle se confondait en excuse, mais Malfiros lui, regrettait qu’elle l’ait remarqué. Elle était gênée bien sûr mais le rouge de ses joues ne lui allait pas si mal.

-Vous n’avez pas à vous excuser, ce n’est rien…

Dit-il d’une voix douce sans reproche. Une glace, donc, c’était parti. Comme d’habitude, il y avait du monde près du marchand mais ca laissa le temps à Kallen de réfléchir. Malfiros était déjà tout décidé. Pour lui, ce serait un cône vanille, chocolat avec des éclats de noisettes. Ce faisant, il songea un moment à la prochaine attraction. Ils avaient fait un manège assez fort aussi, le jeune homme opta pour quelque chose de plus doux.

-La grande roue… Enfin, je veux dire, Je pense que la grande roue serait pas mal. On aurait le temps de déguster nos glaces et puis on verrait toute la ville. Quand dites-vous ?

C’est sûr que manger un cône dans un truc type « spiral de la mort » n’allait pas être de tout repos.

Kallen sourit, Malfiros était vraiment sympatique et ça lui faisait du bien. Ils se dirigèrent vers le marchand de glace qui était déjà fort prisé. Au moins elle ne devrait pas faire patienter toute la foule et elle avait largement le temps de réfléchir au gout de sa glace. Kallen avançait au fur et à mesure en même temps que la foule, sans trop s'éloigner de Malfiros. Il lui proposa d'essayer la grand roue, elle ne réfléchit même pas.

Ho la grand roue, c'est une très bonne idée. j'aimerais bien voir la ville au calme.

Elle regardait le marchand se rapprocher de plus en plus, la foule diminuer...Elle commençait à avoir faim...C'était le comble, les humains étaient des êtres bizarres tout de même.